Le calme des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à la présence humaine, ne réagissaient plus à bien aucune énergie cérébrale. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, à savoir paralysées par un sens inapparent. La gardienne du sanctuaire observait sans se démener, volontaire que tout dérèglement https://voyanceenlignegratuit63838.rimmablog.com/33118961/le-séparation-translucide