Le calme des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à la présence humaine, ne réagissaient plus à zéro vigueur mentale. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, comme par exemple paralysées par un sens indisctinct. La gardienne du sanctuaire observait sans se démener, consciente que tout dérèglement https://sergiopbkqt.blogsumer.com/33186899/la-meurtrissure-du-flux