La nuit enveloppait Babylone d’un silence dense, rien que géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait amenées à le bassin, son regard plongé dans l’eau sombre où la planète semblait affecter. Ce qu’il avait aperçu la veille n’était pas une portrait. Une https://mariovzabz.blogsidea.com/40275711/les-empreintes-du-destin