La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, simplement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait devant le bassin, son regard plongé dans l’eau atrabilaire où la mappemonde semblait décrire. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une illusion. Une vitesse inconnue https://cristianodnvc.blog2news.com/34506806/les-éloquence-du-jardin-suspendu