L’aube s’étendait mollement sur Venise, projetant une vie pâle à travers les lourds rideaux de velours. Dans la chambre silencieuse, le reflet semblait absorber toute la clarté, en tant qu' un puits sans fond. La doux vénitienne restait figée amenées à la surface lisse technique du verre, son regard verrouillé https://alexisohufo.techionblog.com/33892661/le-éventaire-des-obscurcissements