Dans une ruelle dissimulée de venise, où les eaux tristes des transitaires reflétaient la clarté vacillante des lanternes, une tisserande travaillait avec une rigueur fantastique. Ses clavier habiles faisaient se transformer les fils d’or et d’argent sur son poste de travail, réalisant des étoffes d’une éclat inégalée. Mais ce n’était https://erickhrwyz.blogpayz.com/33880893/l-étoffe-de-la-destinee